GAT DE BAS
C’est la pointe délimitée par l’intersection de la route de Coulonges et de celle du Cailleau (D242) à proximité du Cailleau ou plutôt sous (de bas) Le Cailleau. Ces terrains effectivement peu élevés furent manifestement des marais salants. C’est ce que suggère Michel Grelon qui définit les marais gâts comme "des marais salants abandonnés". Le cadastre de 1837 l’orthographie d’ailleurs Gât de Bas, ce qui est nettement plus correct. La définition d’Albert Dauzat qui donne pour origine l’ancien français gast, est alors parfaitement justifiée : "terre inculte". Voir aussi La Gâtine.